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J'aime ces petits clins d'oeil qui nous relient ...
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A quoi songe-t-elle ma petite pensive
devant ces livres des années trente ?
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Peut-être à son âme soeur ...
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Et aussi,
MERCI
de tout coeur à ma tendre Glycine
qui m'a fait la jolie surprise de
penser à moi pour ce
très beau prix ...
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Merci pour vos messages et pour votre amitié.
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19 commentaires:
Cette chanson de Gainsbourg..!!.Elle a longtemps été à mon programme lorsque je gratouillais ma guitare,et que je voulais distraire les copines...pas très gaie mais je l' aime...
Bisous
Douce rêveuse et si jolie,
Bonne soirée
Doux bisous du coeur
Corinne
mais!!! elle est déjà chez toi hihihi! et oui cette reveuse est trop jolie j'étais obligé de la ramener à la maison. merci pour ce gentil clin d'oeil. bonne soirée bises naphtaline
Douce et tendre réveuse...
Bonne et douce soirée chère MArie Ange
Bisous
Joëlle
Ne serait-ce pas la collection Nelson ! Les premiers livres de poche en fait ! puisqu'on pouvait les glisser dans sa poche !
Bonne soirée... de lecture, peut-être ! Pour nous, sortie théâtre !
Bisous.
Excuse-moi, chère Marie-Ange ! J'ai l'esprit déformé ! Je n'ai parlé que des livres mais j'ai bien vu cette ravissante jeune fille pensive... Un amour !
La "Petite Pensive" songe certainement qu'elle est bienheureuse d'être dans un si joli environnement avec une gentille Marie Ange pour la protéger . Quelle jolie mise en scène . Bisous tout plein ; Babette
che intensa espressione ha questa piccola sognatrice!
Buona serata Marie-Ange, un abbraccio!
j'aime beaucoup ce buste de petite fille. Il va très bien avec ton intérieur.
Douce et belle soirée
La rose de l'infante
Elle est toute petite ; une duègne la garde.
Elle tient à la main une rose et regarde.
Quoi ? que regarde-t-elle ? Elle ne sait pas. L'eau ;
Un bassin qu'assombrit le pin et le bouleau ;
Ce qu'elle a devant elle ; un cygne aux ailes blanches,
Le bercement des flots sous la chanson des branches,
Et le profond jardin rayonnant et fleuri.
Tout ce bel ange a l'air dans la neige pétri.
On voit un grand palais comme au fond d'une gloire,
Un parc, de clairs viviers où les biches vont boire,
Et des paons étoilés sous les bois chevelus.
L'innocence est sur elle une blancheur de plus ;
Toutes ses grâces font comme un faisceau qui tremble.
Autour de cette enfant l'herbe est splendide et semble
Pleine de vrais rubis et de diamants fins ;
Un jet de saphirs sort des bouches des dauphins.
Elle se tient au bord de l'eau ; sa fleur l'occupe ;
Sa basquine est en point de Gênes ; sur sa jupe
Une arabesque, errant dans les plis du satin,
Suit les mille détours d'un fil d'or florentin.
La rose épanouie et toute grande ouverte,
Sortant du frais bouton comme d'une urne verte,
Charge la petitesse exquise de sa main ;
Quand l'enfant, allongeant ses lèvres de carmin,
Fronce, en la respirant, sa riante narine,
La magnifique fleur, royale et purpurine,
Cache plus qu'à demi ce visage charmant
Si bien que l'oeil hésite, et qu'on ne sait comment
Distinguer de la fleur ce bel enfant qui joue,
Et si l'on voit la rose ou si l'on voit la joue.
Ses yeux bleus sont plus beaux sous son pur sourcil brun.
En elle tout est joie, enchantement, parfum ;
Quel doux regard, l'azur ! et quel doux nom, Marie !
Tout est rayon ; son oeil éclaire et son nom prie.
Pourtant, devant la vie et sous le firmament,
Pauvre être ! elle se sent très grande vaguement ;
Elle assiste au printemps, à la lumière, à l'ombre,
Au grand soleil couchant horizontal et sombre,
A la magnificence éclatante du soir,
Aux ruisseaux murmurants qu'on entend sans les voir,
Aux champs, à la nature éternelle et sereine,
Avec la gravité d'une petite reine ;
Elle n'a jamais vu l'homme que se courbant ;
Un jour, elle sera duchesse de Brabant ;
Elle gouvernera la Flandre ou la Sardaigne.
Elle est l'infante, elle a cinq ans, elle dédaigne.
Car les enfants des rois sont ainsi ; leurs fronts blancs
Portent un cercle d'ombre, et leurs pas chancelants
Sont des commencements de règne. Elle respire
Sa fleur en attendant qu'on lui cueille un empire ;
Et son regard, déjà royal, dit : C'est à moi.
Il sort d'elle un amour mêlé d'un vague effroi.
Si quelqu'un, la voyant si tremblante et si frêle,
Fût-ce pour la sauver, mettait la main sur elle,
Avant qu'il eût pu faire un pas ou dire un mot,
Il aurait sur le front l'ombre de l'échafaud.
Pas en entier cette fois,mais ta petite statue me fait penser à l'infante....
Bisous de la nuit
Maman Mule
Une petite pensive toute blanxche, toute fraiche et pleine de charme !
Dans cette collection il y avait du meilleur et du pire, mais j'aime bien le format et la couverture. Un jeudi de repos après un mercredi-enfants sans doute.
Marie Ange!!!! Adoro questa bimba dall'espressione così dolce!!!!
Ho sempre la segreta speranza di ritrovarne una per me.....non è poi così difficile credo...ihihihih
Mille grazie per questo gentile pensiero e complimenti per il premio...
Un bacio affettuoso a te e tribù
Nadia
A qui pense-t'elle plutôt? Je le sais, elle pense à moi! Comme elle est belle et fraîche! Toute l'innocence de l'enfance se lit sur son visage!
Bisous ma Douce
Bonjour Marie-Ange...
est toujours très agréable de venir faire une visite de votre blog... est très très jolie!!! Un gros bisous, a très bientot, *Maristella*.
C'est une bien jolie pensée pour les amies du blog. Bises
Qu'elle est jolie !!!! Je me demande bien à quoi elle pense !... En tout cas tout ceci est très romantique...Te voilà d'humeur Fleur Bleue et ça te va à ravir...
Doux Bisous...
De passage sur mes blogs preferee pour te souhaiter une bonne journee.
A bientôt
Flora
Jolie rêveuse qui me fait un peu penser à moi aujourd'hui car je suis complétement dans les nuages !!! Gros bisous ma douce et félicitation pour ton prix.
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